MORA est une entreprise en mouvement et recrute en permanence des collaborateurs / collaboratrices de profils variés pour l’ensemble de ses services et usines. Vous vous reconnaissez dans nos valeurs, vous êtes motivé(e) à la recherche d’évolutions potentielles au sein de notre groupe ? Rejoignez nous !
Ils témoignent
Nos équipes sont notre force au quotidien. Chaque collaborateur associe son expertise et ses expériences diverses et contribue au développement du groupe et à la satisfaction client.
Parlez-nous un peu de vous:
Je suis Elisabeth Woelffel, contrôleur de gestion financier.
J’ai rejoint le groupe Mora en janvier 2023, il y a un an et demi. Ce poste a été créé à la demande du directeur financier, qui souhaitait améliorer le process de reporting du groupe afin d’avoir une meilleure compréhension de la rentabilité de ses filiales.
Chez Mora, la direction financière est composée de trois départements principaux ; le département comptabilité qui traite les factures, la trésorerie qui gère les aspects financiers liquidité, emprunts placements, et le contrôle de gestion. Ces trois départements relèvent directement du directeur financier et disposent de relais comptables dans chacune des entités du groupe pour garantir une gestion cohérente et efficace.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai 49 ans et suis mère de quatre enfants. Après dix ans d’expérience dans le contrôle de gestion, j’ai fait une longue pause professionnelle pour m’occuper de ma famille. Le groupe Mora est une entreprise qui place l’humain au cœur de ses valeurs, en faisant confiance à ses collaborateurs et en offrant des opportunités à ceux avec qui elle souhaite s’engager. Malgré une interruption de 15 ans dans ma carrière, la direction du groupe a reconnu en moi le potentiel nécessaire pour le poste de contrôleur de gestion, tant en termes de compétences techniques que de qualités humaines.
Présentez-nous le métier de contrôle de gestion en quelques mots
Le contrôleur de gestion est au cœur de l’activité de l’entreprise, car il manie les données financières découlant de tous ses métiers. Ainsi, il collecte des informations auprès des différents départements, qu’il s’agisse de la production, du service commercial, de la qualité ou des ressources humaines. Cette convergence d’informations permet de mettre en lumière et d’expliquer les résultats de l’entreprise de manière précise et complète.
Mais cette fonction est souvent mal comprise et perçue de manière négative. On imagine souvent le contrôleur de gestion comme quelqu’un qui pointe du doigt les inefficacités et les mauvais résultats. En réalité, ce métier est loin de cette image. Faisons l’analogie entre un navire et une entreprise. Sur un bateau en pleine mer, le capitaine aura besoin d’informations aussi diverses que l’état de son embarcation, la profondeur des eaux, la météo ou les courants marins. C’est son navigateur qui va rassembler tous ces éléments afin de lui permettre de définir le cap à suivre, en toute sécurité mais avec efficacité. De même, le contrôleur de gestion, en mettant en perspective les différents ratios financiers (dans le temps, ou en comparant deux entités du groupe entre elles) donnera à sa direction de nombreuses possibilités d’analyse pour évaluer et améliorer les performances de l’entreprise.
Ainsi, cette fonction parfois vue comme superflue, est en fait indispensable dans un groupe d’une taille conséquente. Sans elle, le directeur général ou tout autre responsable manquerait de recul sur l’activité et de moyens pour prendre des décisions éclairées.
Le contrôleur de gestion doit avoir une connaissance globale pour pouvoir comparer et analyser diverses informations. Par exemple, un ratio de chiffre d’affaires n’est compréhensible que si on l’associe à d’autres données comme le niveau de productivité, le nombre de jours d’activité de l’entreprise ou le TRS (taux de rendement synthétique) des machines. Une multitude de ratios permet d’expliquer les performances. Ces analyses permettent, par exemple, aux équipes de production ou commerciales de prendre des mesures correctives ou d’optimiser leurs actions en fonction des résultats obtenus.
Il existe autant de contrôle de gestion que de groupes, car cette fonction doit avant tout répondre aux besoins de la structure dans laquelle elle se trouve. Chez Mora, mon poste est plus tourné vers la Direction Générale que vers les opérationnels, mais il existe, dans d’autres structures, des postes de Contrôle de gestion Commercial, SI, de Production, etc. Mon rôle consiste également à soutenir nos collaborateurs dans les filiales.
Mora a récemment intégré Manuplast, une entreprise suisse ; je travaille avec leurs équipes pour mettre en place des outils de suivi conformes aux standards du groupe. Bien que les filiales soient autonomes dans la gestion de leurs données comptables, j’apporte ponctuellement un regard extérieur sur la cohérence de leurs indicateurs ou de certains ratios.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
C’est un métier qui implique une interaction constante avec tous les acteurs de l’entreprise. Cela permet d’acquérir une meilleure compréhension du secteur d’activité, des différents intervenants, de la complexité de l’entreprise et des enjeux économiques et sociaux. Ce poste offre une vue d’ensemble unique sur la société.
Ce qui rend ce métier intéressant, c’est aussi le fait d’avoir accès à des données confidentielles liées aux projets d’entreprise, (…) tels que d’éventuels acquisitions et développements d’activité.
Les contrôleurs de gestion sont également souvent impliqués dans des projets liés à l’ERP, un outil essentiel pour tous les départements comme la production, le commercial, la logistique, la facturation, etc. Ce rôle en lien avec le développement et l’optimisation de l’ERP, amène aussi à travailler avec les technologies de l’information (IT).
Enfin, ce que j’apprécie particulièrement, c’est la diversité des secteurs et des sujets abordés. Entre l’analyse du passé (reportings) et la projection vers le futur (budgets), la réponse aux obligations légales (clôtures annuelles), il n’y a pas de monotonie dans ce métier !
Racontez-nous un projet qui vous tient à cœur ou un défi relevé ?
Cela fait un an et demi que je travaille chez Mora, ce qui est encore assez récent. Néanmoins, j’ai été impliquée dans la mise en place du suivi de l’activité de Sofami, l’une des filiales du groupe. Grâce à la collaboration de son directeur et de son équipe, et en particulier de son responsable de production, j’ai contribué à mettre en place une communication fluide entre la filiale et la holding par le biais d’une revue d’activité mensuelle. Nous avons ainsi pu mettre en lumière de belles perspectives pour Sofami.
Quels conseils donnerez-vous à quelqu’un qui souhaiterait exercer votre métier ?
Ce qui est important dans ce métier, c’est la qualité des relations. En effet, on interagit avec des personnes aux profils variés : certains sont très rigoureux avec une approche quantitative, tandis que d’autres se basent davantage sur des impressions ou des hypothèses non chiffrées. Il est donc essentiel de s’adapter à chaque interlocuteur, en tenant compte de leur niveau de précision et de leur manière d’aborder les informations. Cette capacité d’adaptation est essentielle.
Il est également important de faire preuve de rigueur, car nous traitons des données sensibles qui nécessitent une interprétation précise et une diffusion adéquate. De plus, il est important d’avoir de l’endurance, car les projets peuvent être longs et peuvent s’enchaîner sur d’autres projets.
Le fait d’être curieux est aussi un atout. Le contrôle de gestion est fortement impacté par les évolutions technologiques, notamment dans le domaine de l’informatique. Il est crucial de rester à jour des innovations, comme les outils de Business Intelligence (BI), qui facilitent le traitement des données financières, de production ou commerciales, tout en améliorant la sécurité des informations. Bien que la BI puisse automatiser certains aspects, le rôle du contrôleur de gestion ne sera jamais totalement remplacé, car les interactions humaines et la compréhension contextuelle sont des éléments que les logiciels ne peuvent reproduire
Parlez nous un peu de vous:
Je suis Yannick TRASIBULE, directeur commercial du groupe MORA
Quel est votre parcours professionnel ?
Je suis titulaire d’un brevet de technicien supérieur en transformation des matières plastiques, que j’ai obtenu en 1986 au lycée Arbez Carme à Oyonnax. J’ai ensuite fait toute ma carrière dans le domaine de la plasturgie, où j’ai occupé des postes variés, allant de régleur sur presse à dessinateur de moules, puis à concepteur de pièces plastiques. Avec le temps, j’ai évolué vers des responsabilités de gestion de projets. D’abord dans le secteur automobile pour le compte d’un équipementier de rang 1, je me suis tourné un peu avant le début des années 2000 vers la fabrication de moules, secteur où j’ai passé la majeure partie de ma carrière.
Le 1er avril 2021, j’ai rejoint le groupe MORA, une entreprise que je connais depuis longtemps. Notre premier contact remonte à 2000, elle devint alors pour la 1ère fois un de mes clients. J’ai ensuite maintenu des relations régulières avec l’entreprise tout au long de mon parcours, en tant que fournisseur de moules.
Présentez nous votre métier en quelques mots ?
Mon rôle en tant que directeur commercial est de manager une équipe composée de 2 key account managers, 1 agent commercial rattaché à notre usine de Roumanie, et 2 assistantes des ventes.
Le groupe Mora opère dans la fabrication et la distribution de pièces en matière plastique injectée pour divers secteurs, notamment l’automobile et le secteur médical. En parallèle, j’interviens ponctuellement pour SOFAMI, une société affiliée du groupe, dans le développement de son marché de fabrication et vente de moules pour l’injection plastique.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Ce qui me plait particulièrement dans mon métier chez Mora, c’est la maîtrise de deux des composantes les plus essentielles de notre activité : la fabrication des moules, qui sont les outils fondamentaux pour produire des pièces en plastique, et l’injection des pièces qui en découle.
Ce qui m’attire également, c’est la technicité des produits, la diversité des clients et l’évolution permanente des technologies. Dans le domaine de la plasturgie, nous sommes constamment en mouvement. J’ai la chance de continuer à développer à la fois mes compétences techniques et commerciales. L’expérience quotidienne me permet d’avancer en apprenant de mon activité et de mon entourage.
Racontez-nous un projet qui vous tient à cœur ou un défi technique relevé ?
Nous avons récemment été confrontés à un défi passionnant concernant notre usine en Roumanie. Le développement d’un nouveau projet va permettre au site d’approcher un marché à fort potentiel technique. Ce projet promet d’être le début d’une série d’opportunités pour le futur, ce qui le rend d’autant plus excitant à relever.
Quels conseils donnerez-vous à quelqu’un qui souhaiterait exercer votre métier ?
Pour réussir dans mon métier, je conseillerais d’être pugnace et persévérant, car les marchés sont extrêmement concurrentiels et changeants. Il faut savoir faire preuve de résilience mentale et psychologique pour persévérer et s’épanouir dans ce domaine.
Il est aussi essentiel d’avoir de bonnes bases techniques pour être en mesure de répondre de manière pertinente et rapide aux exigences quotidiennes. Se sentir à l’aise sur le plan technique offre un avantage certain dans les négociations commerciales, ce qui peut faire la différence face à la concurrence. Il est bien sûr vital de maitriser les outils informatiques, de mettre en œuvre les moyens de communication marketing modernes, et de maintenir son niveau de formation continue. Il faut enfin parler anglais, et idéalement,une autre langue.
Comment définissez vous la relation client chez Mora group ?
Chez Mora Group, nous définissons la relation client comme une histoire construite sur le long terme. Bon nombre de nos clients sont des partenaires de longue date avec lesquels nous avons établi une relation de confiance réciproque, solide, équilibrée. Notre fiabilité et notre flexibilité sont aussi souvent mises en avant.
Nous apportons également une expertise technique que nous partageons volontiers avec nos clients. Cette approche se veut pragmatique et quotidienne, et elle crée une relation de proximité dans la durée.
Quels sont les différents types de clients ou prospects que vous rencontrez chez Mora Group ?
Nous rencontrons une grande diversité de clients et de prospects dans nos deux principales activités sectorielles.
Dans le domaine médical, nous opérons avec une usine dédiée à la production de pièces pour le secteur médical avec des salles blanches ou des ateliers à atmosphère contrôlée (ISO 7 et 8). Nos clients dans ce secteur sont des acteurs du médical et de la pharmacie, qui demandent des produits pour des ensembles destinés aux soins médicaux, à la chirurgie ou pour les laboratoires. Nous traitons une grande diversité de demandes, allant de très grandes séries de plusieurs milliards de pièces par an à des volumes moins importants mais associant de multiples process en parallèle de l’injection. On intervient alors sur le moulage, la décoration, l’assemblage, la soudure et le packaging, en adaptant en fonction les niveaux d’automatisation. Cela nous permet de livrer des produits complets, et prêts à l’emploi.
Dans le secteur automobile, nous fabriquons des pièces techniques, avec une expertise particulière en bi-injection, multi-injection et surmoulage. Bien que nous ne soyons pas fournisseur de rang 1 de l’automobile, notre usine au Portugal fournit directement l’usine Stellantis de Vigo.
Nous fournissons également des pièces techniques à des clients dans d’autres secteurs tels que les biens d’équipements, le sport et l’industrie lourde en France et à l’étranger. À travers Sofami, notre division de fabrication de moules, nous sommes également présents dans le secteur de la cosmétique.
Comment est organisé le service commercial chez Mora Group ?
Nous disposons d’un Key Account Manager dédié à chacun de nos deux secteurs d’activité, Ils sont directement placés sous ma responsabilité. Nous avons également deux assistantes des ventes chargées de la rédaction des offres et du suivi commercial quotidien. Nous travaillons en étroite collaboration avec notre centre technique près de Lamure-sur-Azergues, qui prend en charge l’analyse technique, le chiffrage des devis et le développement des projets en commande. A la fois à l’initial des nouveaux projets, nous intervenons au quotidien tout au long de leur vie série.
Mora est un groupe tourné vers l’international. Pouvez-vous m’en dire un peu plus ?
Mora Group a une présence internationale significative, avec cinq usines réparties sur plusieurs pays européens. En France, notre site d’injection de Chambost-Allières dédié au secteur médical est aussi notre siège social non loin de Sofami à Lamure-sur-Azergues. Nous avons également trois autres usines, au Portugal près de Porto, à Medias au centre de la Roumanie, et en avril 2023, la société Manuplast à Ballaigues dans le canton de Vaud en Suisse a rejoint le groupe.
Notre présence internationale nous a permis de maintenir une présence dans le secteur de l’automobile, en suivant nos principaux clients au plus près de leurs usines. Cela nous a permis de répondre aux préoccupations croissantes en matière d’empreinte carbone en nous rapprochant de nos clients/fabriquants dans les pays de l’Est et de la péninsule ibérique, où le Portugal et l’Espagne sont très actifs dans le secteur de l’automobile.
En ce qui concerne Manuplast, cette acquisition représente une synergie intéressante en termes de capacités de production et de spécialisation. Manuplast est davantage axée sur les marchés de niche tels que l’horlogerie, le luxe et les pièces très techniques pour le médical, avec une certification ISO 13485. Cette société se spécialise davantage dans les petites séries, ce qui complète parfaitement notre portefeuille d’activités.
Il est également primordial que tous nos sites répondent aux exigences de qualité de nos clients, au travers de leurs certifications ISO 9001, IATF 16949 ou ISO 13485.
Et enfin Mora se positionne comme acteur de sa propre Responsabilité Sociétale d’Entreprise avec un aboutissement vers une labellisation «Engagé RSE» selon ISO26000 d’ici 2 ans.
Pierre LAMY, d’abord bûcheron, s’est orienté vers le tournage de précision dans l’industrie aérospatiale, nourrissant sa passion pour le travail minutieux. Fort d’une expertise acquise au fil des ans dans diverses entreprises spécialisées, il excelle chez SOFAMI en produisant des pièces de haute précision au quotidien.
En tant qu’opérateur de tournage CNC chez SOFAMI, Pierre est au cœur de la production, garantissant la qualité et la précision de chaque pièce usinée. Sa responsabilité englobe le réglage de la machine, la programmation des opérations, et la supervision de la production, veillant à ce que les pièces répondent aux spécifications, notamment dans les sections de moulage. Sa satisfaction réside dans la création de pièces sur mesure et dans la résolution réussie des défis techniques.
En dehors du travail, Pierre nourrit sa passion pour la mécanique et les véhicules tout-terrain. Impliqué dans l’organisation d’événements de sports mécaniques, il cherche constamment de nouvelles aventures et défis, tant dans sa vie professionnelle que personnelle, cultivant un esprit d’innovation et de dépassement de soi.
Sami YAZIGI est un membre essentiel de notre équipe. En qualité de Key Account Manager, Sami va bien au-delà de la gestion de nos grands comptes ; il incarne l’essence même de nos relations avec nos clients industriels.
Sami a exploré divers domaines, de la vente de mélanges-maîtres aux pièces techniques en plastique. Sa riche expérience et sa formation en génie chimique, spécialisée dans le caoutchouc et les polymères plastiques, font de Sami un précieux conseiller pour nos partenaires commerciaux. L’aspect international du poste et les rencontres stimulantes qu’il peut faire l’ont conduit chez nous.
Chaque jour, Sami s’engage à explorer de nouvelles opportunités d’affaires et à les développer. Ce qu’il apprécie le plus dans son travail ? La nécessité d’être persévérant et combatif, des traits de caractère qu’il incarne à la perfection.
En dehors du bureau, Sami nourrit une passion ardente pour le monde fascinant des insectes tropicaux. Il partage cette passion à travers un musée d’entomologie tropicale chez lui, ouvert à tous ceux qui souhaitent s’y plonger. Sami est constamment en quête de nouvelles aventures et de collaborations dans le domaine du plastique. Si vous avez des idées ou des projets, il sera enchanté d’en discuter avec vous.
Gabin VERDIERE est étudiant en première année et spécialisé en études de laboratoire.
Sous la houlette de Delphine CORCELETTE, inspectrice d’accueil, Gabin s’est lancé dans une aventure passionnante au cœur du laboratoire qualité de Mora Chambost-Allières. Dans ce laboratoire ultramoderne, équipé d’outils à la pointe de la technologie, Gabin explore l’univers complexe du contrôle des particules. Le laboratoire permet de garantir la propreté des composants dans la salle blanche de l’entreprise, un aspect crucial pour maintenir les normes élevées de qualité.
Ce stage offre à l’opportunité unique de mettre en pratique ses connaissances théoriques tout en acquérant une expérience pratique. Grâce à cette immersion au cœur des opérations de MORA, Gabin développe non seulement ses compétences techniques, mais aussi sa compréhension des défis réels auxquels font face les professionnels du contrôle qualité.
Comme Gabin, effectuez votre stage chez MORA Group et partageons nos expériences.
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